« J’ai perdu 1.8kg de gras en 1 mois. »

« D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été ronde ou du moins enveloppée « on va minimiser le truc ». Certes pas obèse, mais le 42 a toujours été mon meilleur ami. Par contre ça ne m’a jamais empêchée d’être active (vous notez que je ne dis pas sportive). J’aime me dépenser, en danse, en sport de combat ou en athlétisme ou mieux en randonnée. Tant que cela reste ludique et sans obligation, je suis partante. Car mon plus grand problème avant Fitline 972, c’est que je n’arrive pas à m’inscrire dans une routine sportive. Je devrais dire, « je n’arrivais pas ». Oui, j’avoue : « je fais partie de ces personnes qui payent une salle pendant une année et qui n’y vont que 3 mois ». Un jour, je me suis réveillée dans l’optique de changer les choses, et vu qu’à moi toute seule, je n’arrive pas à obtenir de la constance, il me fallait être accompagnée. Fitline fut donc mon choix. Et je ne regrette en rien. Plus qu’un coach, Pauline est une éducatrice sportive. Elle m’a permis d’obtenir le premier de mes objectifs la constance au sport, 3-4 séances par semaine. Je pense que c’est lié à deux points essentiels dans ses programmes, la diversité des exercices proposés, mais aussi le dépassement de soi. Oui, elle cherche systématiquement à chaque entretien bilan ou à chaque cours à nous sortir de notre zone de confort. Du coup, on n’a jamais le temps de s’ennuyer. Et l’on finit même par ce challenger soi-même. Je ne commence que récemment son programme de rééquilibrage alimentaire et j’en suis contente. J’ai perdu du « gras » et je dis bien « du gras » plus exactement 1.8kg de gras en 1 mois. Pourquoi je suis certaine que c’est du gras et non pas du poids.  Pauline a une machine, un peu comme le « miroir magique de blanche neige », il te dit tout sur toi et « même ce que tu ne veux pas entendre ». Cette perte s’est faite sans sensation de faim, sans privation (il faut se faire plaisir et ne pas se couper de son entourage), et sans être obligée de tout changer à la maison. Du coup poursuivre son programme ne me semble en rien une corvée. J’ai plutôt hâte d’être au prochain bilan. »

Priscila